Comme le dit très bien José Ortega dans – La déshumanisation de l’art – : “Le plaisir esthétique doit être un plaisir intelligent” et @lapoutre à une forme d’intelligence fort bien développée qui contribue à me séduire chaque jour qui passe.
De ce fait nous nous retrouvons toujours à investir des appartements qui ont une âme, de la classe et qui sont fort bien placés
Cette fois ci nous irons donc passer 3 jours chez un musicien émérite, dans le coeur de Paris, pas très loin de république. L’appartement est vraiment beau, à la fois moderne et ancien ce qui ajoute un charme particulier à l’endroit. Le plafond est recouvert de poutres peintes et enluminées comme savaient le faire les artisans du 18 éme siècles. Elles portent un monogramme avec un Q doré, sorte d’invitation au plaisir qui rajoute du cachet à l’ensemble.
Les particularités de l’endroit nous font sourire tous les deux. Imaginer @Lapoutre au milieu de toutes ces poutres relève du comique de situation et n’est pas sans nous plaire.
Notre regard commun et complice me fait du bien, c’est bon d’être avec lui ici, au milieu de cette décoration ethnique, isolés du monde et libre d’exprimer nos désirs.
Nos bagages à peine posés, nous nous jetons littéralement l’un sur l’autre, avides de sentir et de venir goûter ce qui nous à tant manqué.
Sa langue râpeuse dans ma bouche me donne des envies malsaines. Alors quand elle vient caresser la mienne avec dévotion, la réalité de nos envies m’arrive en pleine face, nous allons enfin baiser et nous libérer de toutes nos tensions sexuelles exacerbées par l’absence.
Je me libère avec peine de son étreinte, lui enlève doucement sa chemise et me débarrasse à la va vite de mon pull. J’ai un besoin vital de sentir sa peau contre la mienne, là maintenant, sans fards et mascarade. Puis, je fouille dans mon sac, sors mon collier rouge de chienne (cadeau de sa part), l’enserre autour de mon cou et lui laisse me passer ma laisse. Ca y est, nous sommes enfin chacun à notre place, dans nos rôles, ceux qui nous définissent et nous lient profondément.
Je le fais ensuite reculer et le force à s’asseoir sur un tout petit canapé. Je veux pouvoir me mettre entre ses jambes, à ses pieds pour lui montrer combien ma place de chienne soumise et aimée m’est agréable.
Alors commence ce jeu du désir qui ne nous quitte jamais, celui dont on se sert pour faire monter l’envie à coup de langues et de caresses bien placées.
Il tire sur ma laisse et je sais que je dois écarter les cuisses pour qu’il puisse voir mon cul et ma chatte. C’est son rituel, celui qu’il a décidé de mettre en place. Il inspecte ce qui lui appartient avec sa langue, n’oubliant aucune zones, je sens sa salive couler sur ma peau et sa langue exercer des pressions puissantes sur mes orifices exposés à ses yeux.
Je lui tend mon cul comme on tend une offrande à un Dieu dont on souhaite obtenir les faveurs, j’écarte au mieux mes fesses parce que j’ai envie qu’il continue ce qu’il me fait, qu’il aille plus loin, enfonçant sa langue dans ma chatte déjà bien humide de tout ce désir contenu.
Mais c’est mon oeillet palpitant qui l’intéresse, il le lèche avec ardeur, en gémissant d’une voix rauque, une voix d’homme puissant qui a le don de faire monter en moi, l’excitation à son paroxysme . Je me sens brûlante d’envies et de désir pour lui.
J’ai besoin qu’il me baise avec ardeur et je n’ai pas peur de lui faire comprendre. Je me relève, lui prend la main et l’entraîne dans les escaliers de la mezzanine menant au lit, ma laisse toujours au cou.
Nous démontons le lit si joliment fait et nous nous roulons dedans, accrochés l’un à l’autre, comme deux bêtes féroces se battant pour un os. Nos corps s’emmêlent, nos salives se mélangent et nos souffles ne sont plus que des cris d’envies. Nous ressemblons à un tableau religieux ou les damnées emmêlés lèvent les yeux vers un paradis espéré mais jamais atteignable.
Je le dévore avec avidité, recevant ses morsures comme des cadeaux liés au désir, il me griffe, je le lèche, je coule sur son genou qui se frotte à mon sexe de femme désirante, avec application.
Je gémis et m’amuse à le provoquer en lui disant que c’est moi qui domine le jeu. Je sais qu’il va me répondre, me montrer que c’est lui qui domine, lui qui décide de comment il va me baiser et me faire jouir. Et c’est exactement cela que je veux, sentir sa force, me voir plier sous ses envies, sentir le plaisir m’envahir, m’abandonner à l’extase et inonder ces draps immaculés de ma mouille de chienne dominée.
Quand il m’attrape le cou et qu’il plonge sa main dans ma chatte dégoulinante, je lui crie que c’est lui qui domine, que j’aime ça et que je veux qu’il continue à m’aimer de cette façon. Alors il me retourne, me fait me cambrer et prend mon cul avec une fureur contrôlée mais néanmoins ardente. Ma première jouissance est au bout du chemin et elle en augure encore d’autres bien plus intenses.