Spinoza disait qu'”on ne désire pas les choses parce qu’elles sont belles , mais c’est parce qu’on les désire qu’elles sont belles”
Je crois que tout ce que je désire vraiment c’est d’être avec lui. Cela semble simpliste et un peu bête de le dire comme cela mais c’est pourtant le sentiment qui m’anime depuis que je le connais.
Je sens qu’à ses côtés je suis enfin bien dans mon identité de femme et que je n’ai plus besoin d’être une superwoman pour recevoir un regard positif sur ma personne.
Après des années de relation sclérosante ou je faisais du sexe comme on enchaîne des films porno, c’est une bouffée d’air non négligeable même si je ne sais pas combien de temps durera notre histoire et que je la vis au rythme de ses venues et de ses départs.
@Lapoutre est un homme sensé même si sa nature est bouillonnante et qu’il s’enflamme parfois pour pas grand chose. Moi je suis à moitié allemande, fille du Nord Est et ex enfant de l’armée, j’aime rire et je suis totalement décalée et exubérante. Pas vraiment discrète comme fille et comme si cela ne suffisait pas j’ai un fort penchant pour l’exhibitionnisme.
Pas pudique j’aime montrer mes fesses et mon corps. Ca me fait jouir le corps, c’est beau, c’est chaud, c’est excitant et ça vaut largement la peine de le montrer quoique la moral nous en dise.
Lui est plus vieux que moi, discret et réservé, un peu taiseux mais formidablement intense. Je ne suis pas le genre de femme qu’il à l’habitude de fréquenter et je pense que parfois il est surpris par ce que je suis.
Malgré nos grandes différences nous nous rejoignons sur beaucoup de sujets et nous sommes indéniablement très attirés l’un vers l’autre physiquement.
Le cul nous domine, nous obsède, nous poursuit !!! Quand on ne pratique pas on s’en parle jour et nuit, on baise via l’écriture. On s’expose sur les réseaux sociaux , ou souvent on fait des envieux. Tous les moyens sont bons, images, vidéos ou l’on se caresse pour l’autre, paroles crues sont notre quotidien que nous semblons rechercher plus que tout autre chose.
Avec lui c’est toujours une sorte d’explosion intérieure ou nous avons l’impression de nous réaliser à deux, tant ce que nous nous offrons est intense. Nous ne gâchons jamais une minute pour nous faire du bien et nous usons statistiquement bien plus la literie des appartements ou nous allons que le reste.
Ce qui fait dire aux propriétaires que nous sommes des gens propres et respectueux, de bons voyageurs et que nous sommes forts sympathiques.
C’est un sujet d’amusement entre nous d’ailleurs, si seulement ils savaient qu’en fait on baise tellement que nous n’avons pas le temps de toucher à quoique ce soit dans leurs beaux “chez eux”.
Ils comprendraient alors mieux que, par la force des choses, nous rendons tout comme nous l’avons trouvé, excepté le lit qui est toujours à l’image de notre sexualité : Déglingué, mouillé et démonté.
Cette fois ci n’échappant donc pas à la règle nous avions pris pas mal d’avance de ce côté là. Les draps étaient plus que froissés et recelaient, ici et là, de taches plus sombres, joyeuses preuves que nous étions fait de liquides et que la théorie qui consistait à dire que le corps humain est constitué d’eau était véridique.
@Lapoutre, comme toujours n’avait pas négligé sa peine à me faire éjaculer, il aime les femmes fontaines et est le premier à revendiquer que les fluides sont la quintessence d’une sexualité acceptée et assumée
J’avais particulièrement aimé le moment ou affairé à travailler ma chatte de ses doigts agiles, il avait joui dans ma bouche en douceur, s’écoulant naturellement en moi pendant que de mon côté, je colonisais les draps de mon eau intérieure, me déversant sans retenue.
Cela faisait “floc, floc” de partout, éclaboussant mon ventre qui me semblait s’ouvrir sous les affres de ma jouissance, comme un fruit trop mûr qui éclate sous la pression de la chaleur.
Je n’en pouvais plus de couler, je sentais mes fesses devenir humide et je voyais la tâche de mes ardents flots s’agrandir à vu d’oeil. Mais ce qui me plaisait le plus c’était d’entendre @Lapoutre me dire que j’étais sa salope adorée, sa chienne lubrique dédiée à son plaisir.
Ce qui me réjouissait au plus haut point était de savoir que quoiqu’il arrive nous baiserions jusqu’au dernières limites du temps qu’il pouvait me consacrer.
Il n’y a pas à dire, il était enfin là !!! et je ne comptais plus le lâcher avant qu’il reparte .
J’aime beaucoup ta philosophie du corps et de ta sexualité…