On baise tout le temps, dans la réalité et virtuellement.
A chaque heure du jour et de la nuit,
Nos pensées charnelles sont unies,
Et nous conduisent vers un éternel firmament.
Je lui dévore l’esprit, il me massacre le cul.
De sa pine affutée et aguerrie,
Il ouvre en moi des voies inconnues,
Qui me font pisser comme une jeune ingénue.
De mes deux mains je lui montre le chemin,
Tenant mes deux globes laiteux fermement,
Les étirant puis les écartant savamment,
J’attend ma récompense avec grande faim.
D’abord, il sort sa langue velue,
Toute de rose d’apparat vêtue.
La pose à plat sur mon trou du cul,
Et le lèche sans aucun sens de la vertu.
Puis il m’aspire le fion avec passion,
Comme le ferait un syphon à piston.
Je me dandine et tord du cul,
Jusqu’à ce que sa langue au fond de moi ai disparu.
Je râle, je feule et me débat.
La grande Aristochatte n’est plus qu’un petit chat,
Qui crie comme une souris piégée,
Alors que tout est déjà joué.
Il libère de son antre sa lourde queue gonflée,
Porteuse de promesses agréables et non simulées.
La plante sur le devant de mon large cul rosé,
Et pousse jusqu’à la garde pour tout faire entrer.
Maître unique de ces lieux reculés,
Je suis enfin sa belle enculée.
Sa bonne Chienne éduquée,
Qui sait le servir en amoureuse et femme dévouée.
Alors ballottée sous ses assauts répétés,
Je me plie à son rythme ordonné.
De mon index je caresse mon clitoris dardé,
Puis j’explose en un jet puissant et incontrôlé.
Epoustouflant et magnifique poème !
Superbe déclaration d’amour. Merci.
Ton côté chienne est contagieux, comme ta dévotion.
Saine lecture