C’est la règle, la principale et première pour moi, celle qui pose bien les choses et qui attribue les places: “Je suis sa propriété”; Je lui appartiens totalement corps et âme et il n’existe pas de discussions possible sur ce sujet .
Il m’a choisi sans que je ne m’en rende compte réellement, mais il a décidé qu’il serait mon maître et que je pourrais occuper le statut de soumise, sa soumise à lui, celle qui à le potentiel pour le rendre heureux et lui obéir en toute confiance.
C’est curieux de se dire que l’on a été choisi. Parmi toutes les possibilités qu’il avait, c’est moi qu’il a choisi, pour me mettre à ses côtés et me poser à ses pieds, lieu unique de dévotion à son postulat. Car c’est bien là que j’aime me tenir, assise sagement accrochée à une de ses jambes. Appuyant ma tête contre la chaleur de celle ci et écoutant battre le rythme de son cœur.
C’est apaisant de dépendre de lui, de son bon vouloir, de ne plus avoir à réfléchir à ma relation amoureuse, parce qu’il me rassure et me fait comprendre que je suis importante pour lui .
C’est fort de sentir cette impulsion battre en lui, celle qui lui donne autant de charisme et de beauté, celle que j’aimerais pouvoir toucher du bout des doigts, juste pour en ressentir le rayonnement.
Je lui appartiens, alors il se doit de bien me traiter, d’être à la hauteur des espérances folles qu’il a mises dans ma tête et dont je surveille l’évolution jour après jour.
Je lui ai remis ma vie entre les mains et il est libre de me faire vivre les choses comme il les entend, qu’elles soient douces ou fortes, je me tiens à sa disposition, ne craignant rien et avançant dans l’amour avec sérénité.
J’ai le cœur épris et les mains liées à une chaîne virtuelle dont il tient le bout avec fermeté. J’aime porter mon collier, symbole de mon appartenance à sa personne et je rêve du moment ou il vient y attacher la laisse qu’il garde toujours à portée de mains.
Quand le mousqueton de celle ci vient se refermer sur l’anneau de mon collier je me sens enfin pleine de lui et prête à me donner entièrement sans restrictions et sans questionnements.
Je frémis à l’idée de sentir sa main si bien formée sur mes fesses et j’appelle avec insistance la cravache dont je demande à recevoir des coups toujours plus forts. J’affectionne aussi le fouet et ses longues lanières qui viennent flatter l’ensemble de mon corps et y laisser une charmante douleur cuisante qui me fait fantasmer au plus haut point.
Il a fait graver à mon nom, une cuillère plate qui fait un si joli son quand elle s’abat sur moi, j’aime savoir qu’elle est à moi et qu’il s’en servira des que je lui demanderais. J’aurais bientôt aussi, une gamelle ou je pourrais venir laper de l’eau ou son élixir de vie et je me réjouis à l’avance du regard qu’il portera sur moi à ce moment là.
Mes désirs les plus fous s’accommodent parfaitement de ses envies les plus dures et c’est avec joie que je lui offre mon corps comme terrain d’expérimentations et qu’il me conduit vers des strates de jouissances jamais connues auparavant.
Je suis sa propriété exclusive et j’aime cette première règle qui fait de moi sa soumise dévouée. Il existe bien d’autres règles dont je vous raconterais le contenu au fur et à mesure du temps, pour que vous puissiez suivre ma pensée intérieure et ma dévotion entière à sa personne.
La définition de l’esclavagisme volontaire !
Ce n’est pas de l’esclavage mais un jeu volontaire. Et croyez-moi le plus soumis de deux n’est jamais celui que l’on croit
Des bises à vous