J’adore les fantasmes basiques, ceux bien éculés par la société que l’on peut lire ou entendre un peu partout. Il y en a un qui me plaît particulièrement et dont je me suis servie à de nombreuses reprises plus jeune pour me masturber : Baiser avec mon voisin du dessus.
Bon en réalité c’était plutôt mon voisin d’à côté et c’était quand j’étais encore étudiante que cette idée m’a beaucoup excitée. Jusqu’à aujourd’hui, je l’ai toujours gardée dans un coin de ma tête et j’aime bien me la remémorer de temps en temps. Comme un chocolat qu’on laisserait fondre lentement sur la langue, pour le plaisir de saliver et d’avaler de longues gorgées sucrées.
Quand j’ai débarquée à Paris en 1999, je venais de ma province pour effectuer un stage dans un grand cabinet d’avocats. Je m’étais arrangée pour le trouver sur Paris car je voulais prendre un peu d’indépendance vis à vis de mes parents et de mon copain de l’époque. J’avais donc fait une demande au CROUS pour obtenir une chambre dans une résidence d’étudiants et comme j’étais chanceuse,je l’avais obtenu sans trop de mal. Ce qui était assez exceptionnel en soi car vu le nombre de demandes et de refus.
Mes parents qui n’étaient pas vraiment chaud à cette idée ne pouvaient plus s’y opposer puisque j’avais tout arrangé avec un certain brio.
Me voilà donc, partie de chez moi, en route pour quelques mois sur Paris, avec tout à découvrir et à conquérir. J’arrivais un vendredi dans la capitale, mes bagages à la main, mes parents de l’autre, pleins de rêves dans les yeux et une envie de me débarrasser de ma famille le plus vite possible.
Je savais que j’allais avoir une chambre à moi, ce que je ne savais pas c’est qu’elle était dans une unité de vie, composée de huit autres chambres, toutes occupées par des mecs. Et oui je me retrouvais être la seule fille au milieu de tous ces hommes plein de testostérones, qui ne faisaient pas la vaisselle et qui avaient une notion de l’ordre toute particulière.
Je me souviendrais toujours de la tête de ma mère ce jour là. Je pense que si elle avait pu me remettre illico presto dans la voiture, elle l’aurait fait sans hésiter. La seule chose qu’elle trouvait à me dire et qu’elle répétait en boucle était ” Tu es sûre que ça va aller ?”.
Après l’avoir rassuré au moins mille fois, je la poussais dehors gentiment mais sûrement, lui disant qu’il y avait encore de la route à faire et qu’ils devaient rentrer avant la nuit. Une fois seule, je montais dans ma chambre au second étage et je commençais à m’installer doucement, cherchant mes marques et trouvant de la place pour toutes les choses que j’avais emmené pour passer un agréable séjour.
Je pliais mes vêtements quand je vis apparaître dans l’encadrement de ma porte, un gigantesque black, bien musclé, plutôt beau gosse qui se présenta comme mon voisin. Celui de la chambre d’a coté qui avait un mur mitoyen avec la mienne.
Il me souhaita la bienvenue et m’expliqua qu’il y avait de grands risques que je l’entende le soir avec ses partenaires et qu’il ne fallait pas que je m’offusque s’il faisait un peu trop de bruit. Il me suffirait de taper au mur et il ferait plus attention.
Comme entrée en matière c’était réussi, j’avais un voisin, beau gosse, mais visiblement chaud lapin et j’avais l’impression que je ne pourrais pas dormir une nuit complète de sitôt. Je ne croyais pas si bien dire, quelques heures après, alors que je prenais un repos que je considérais bien mérité j’entendis les gloussements d’une fille à qui visiblement on ne faisait pas que des chatouilles.
Elle poussait de petits cris surpris puis amusés. Il devait la toucher un peu partout, enfin c’était ce que je m’imaginais, ne pouvant voir les choses. Puis soudain ses cris se changèrent en gémissements et halètements, les choses sérieuses commençaient, la fille avait du plaisir et ne savait pas le cacher. Allongée sur mon lit, je comptais les secondes qui séparaient ses gémissements l’un de l’autre, ça m’occupait l’esprit en attendant qu’il la prenne et qu’elle jouisse vite, afin que je puisse m’endormir.
Mais ça ne se passait pas comme cela, je ne savais pas ce qu’il lui faisait mais elle ne cessait de gémir, comme une bête souffrante, émettant un râle de plaisir lancinant, qui semblait vouloir annoncer une jouissance profonde qui pourtant ne venait pas encore.
J’avoue que cela m’excitait au plus haut point et je sentais mon ventre se tordre d’impatience. J’avais envie d’être à la place de cette fille et de me faire caresser en profondeur par une main inquisitrice et féroce. J’imaginais qu’il ne me laisserais pas de répit, me fouillant avec vigueur jusqu’à provoquer chez moi un abandon sans retour à la félicité de la jouissance. C’était bon de fantasmer ainsi et j’étais à deux doigts de remercier l’administration de m’avoir alloué une chambre aussi bien placée.
Je l’entendais bouger sur son lit, puis je reconnus un bruit régulier ressemblant à celui d’une masse qui venait heurter à un rythme saccadé une surface dure. Seigneur !!! c’était sa tête qui tapait ainsi contre le mur. Il l’a baisait avec cadence.
Ma main n’avait pas pu résister à cet appel au cul et je me branlais avec fougue depuis un petit moment. Je sentais ma mouille couler à flots et m’en servait pour glisser encore plus vite et plus fort contre mon clitoris boursouflé qui ne demandait que cela. J’avais envie de sa grosse queue et j’étais presque jalouse de cette fille qui ne savait que gémir et dont les onomatopées ne venaient que m’exciter encore plus.
Elle ne tarda pas à jouir dans un éclat de cris aigus qui servirent à couvrir ma propre jouissance qui me laissa pantelante sur mon lit et couverte de sueur.
Il était deux heures du matin quand je m’endormis enfin aussi éreintée que je l’aurais été si j’avais été la victime consentante des assauts de mon voisin.
Quelques heures plus tard , en me levant et en courant sous la douche qui était sur le palier, je ne me doutais pas que je trouverais porte close. Il était si tôt que je ne voyais pas qui pouvait occuper ainsi la salle de bain. J’essayais d’ouvrir la porte en vain et je commençais à pester intérieurement quand j’entendis à nouveau des petits cris de plaisirs identiques à ceux qui m’avaient tant excité la veille. Ce gars étais infatigable ma parole !!!.
J’en étais à ce stade de mes pensées, quand la porte s’ouvrit brusquement, me faisant sursauter de surprise. Il se tenait là devant moi, une simple serviette autour de sa taille, la fille enlacée à lui, à me sourire perversement en me regardant comme si j’étais sa prochaine victime.
“J’espère que tu as bien dormi et que nous ne t’avons pas trop dérangé ” me dit il avec un sourire ravageur.
Je lui répondit avec un air que j’espérais totalement détaché que j’avais le sommeil tellement lourd que rien ne pouvait le troubler et m’engouffrais à toute vitesse dans la salle de bain de peur de lui sauter au cou tellement il était sexy.
Le soir en rentrant de mon stage, je montais directement dans ma chambre, espérant entendre à nouveau les ébats de mon voisin si sexy. J’avais imaginé toute la journée de nombreux scénarios ou je me faisais prendre et ou je jouissais à flots. Je poussais la porte et vis à terre une demi feuille pliée en deux. Quelqu’un m’avait laissé un petit mot. Je l’ouvris et y lu :
“Je t’ai entendu jouir hier soir en même temps que ma copine, nous remettons cela ce soir, je laisserais ma porte entrouverte. Si ça te tente viens nous rejoindre. Ton voisin”
Un certain trouble ne me quitta plus, il fallait faire un choix et je savais que je ne résisterais pas longtemps à une proposition aussi tentante.
Sympa de lire cette histoire…. J’ai été aussi deux ans en cité U et j’ai aussi vécu cela… J’avais… https://t.co/LxydkApVpU