J’ai 25 ans et je m’entraîne tous les jours, dans une petite salle de danse d’un des quartiers populaires de Marseille. J’y ai appris le flamenco dans ma tendre enfance et aujourd’hui je l’enseigne à des petites filles qui comme moi rêvent de devenir une étoile du plancher.
Le flamenco est mon feu, ma joie et mon amour. Il me permet d’exprimer ce que je suis. Quand la musique démarre, elle m’envahie toute entière comme le ferait la morsure pleine de désir d’un homme. Elle me fouette le sang, me donne cette assurance que je n’ai pas dans la vie. Je me transforme alors en une femme solaire, capable de mettre à genou le pire des monstres. Je suis une Circé qui réjouit le corps des hommes de doux émois.
Je me donne à corps perdu pour mon art, il est mon unique amant, je suis sa soumise, il abuse de moi, me fait souffrir mais pour lui , je suis prête à tout, je suis son esclave et je me traîne à ses pieds. Aucun homme ne m’a jamais apporté cette excitation que me donne la danse, je ne me suis donc pas attardé auprès d’eux au delà du cul.
Il y a bien certains hommes qui me font vibrer mais ça ne dure jamais. Je baise avec eux sans passion, je jouis mais ma tête est toujours ailleurs, dans cet univers qui me fait fantasmer. Ils veulent tous me dominer pensant que je suis flexible, mais moi je rêve de les étendre à mes pieds, de les piétiner. D’en faire mon festin, un vrai repas de fête et de rêve que je dégusterais lentement.
En attendant de convertir un de ces messieurs, je danse, je tape du pied le plancher avec sensualité. Je domine mon art et l’espace autour de moi. Aujourd’hui je me suis beaucoup donnée et mon corps en sueur laisse des traces équivoques sur mon body rouge. Je souris toute seule en me regardant dans le grand miroir, on dirait que je viens de jouir, mon entrejambe est détrempée de cette sueur pleine de passion qui s’écoule de moi. Un léger picotement au niveau de ma nuque m’informe que quelqu’un est probablement en train de m’observer. Mon instinct ne me trompe jamais dans ce genre de situation.
Je cherche du coin des yeux qui à eu l’audace de venir pénétrer la pudeur et l’émotion que je met dans la danse et je découvre que c’est un gars de mon quartier. Un apprenti que je croise tous les matins, un type sans grande envergure, un peu banal, a qui on ne fait pas vraiment attention. Il se tient là, debout à moitié caché par l’encadrement de la porte. Il gigote légèrement en serrant dans ses poings sa casquette qui n’aura bientôt plus de forme à ce tarif la.
Il est jeune, presque frêle si ce n’est les muscles qui sculptent son corps. Il ressemble à un agneau avec ses cheveux frisés et ses grand yeux clairs laissent a penser qu’il est du genre plutôt docile. En voila un beau spécimen masculin à détourner du droit chemin. Il est évident que je vais en faire mon quatre heure, le savourer sans remords et l’user jusqu’à la corde.
Je traverse la salle de ce pas rapide qui me caractérise et j’attrape par le col, le jeune mateur qui n’a pas le temps de fuir. Il semble surpris mais il n’a pas peur, il me regarde avec une lueur de désir que je n’ai jamais vu dans les yeux des hommes qui ont jalonnés ma vie.
Il me détaille avec soin, s’attardant sur mon auréole entre les cuisses qu’il semble convoiter avec avidité. Une lueur perverse brille dans le fond de ses yeux, il semblerait qu’il ne soit pas aussi innocent que cela ce petit. Je lui empoigne ses jolies boucles que je prend à pleine main et je lui écrase le visage sur ma chatte ne lui laissant aucune opportunité de respirer autre chose que mes effluves intimes. Il m’empoigne les fesses, massant la chair de celles-ci pour s’enfoncer encore plus loin en moi.
J’aime cette situation incongrue et excitante, je sens son souffle sur ma chatte et son nez qu’il a placé volontairement sur mon clitoris de la plus aimable des façons. Ce qui bien évidemment provoque très vite chez moi des écoulements que mon body détrempée ne peux plus contenir. Loin de le gêner, je le découvre suçant avec frénésie le tissu de celui ci comme pour en extraire mon jus intime. Il le mâchonne avec passion, comme le ferait un chien, sa langue rose et dardée, s’active sans se fatiguer, lapant tout ce qu’elle peut.
Je pose mes deux mains sur sa tête et je l’étouffe encore, lui ordonnant de me lécher, de me sucer jusqu’à la moelle, d’introduire son appendice buccale dans ma fente visqueuse et de ne pas ralentir le rythme. Il s’exécute sur le champs, trop heureux de saisir cette opportunité. Sa langue me récure la chatte, n’oubliant aucun des recoins, aspirant tous mes replis de chair avec une avidité d’affamé qui me laisse tremblante. Il finit par l’enfoncer profondément en moi, la déployant le plus largement possible pour bien me remplir.
Je chevauche sa tête comme je le fais quand je danse, il est devenu mon objet masturbatoire, ce n’est plus un homme mais une extension de mon plaisir.
Je gémis , je cris, je le gifle dés qu’il ralentit le rythme, il est a genoux, inconfortablement installé, mais je m’en fiche. Il est mon chien, ma chose. Je veux qu’il me fasse jouir ainsi, je veux m’écouler dans sa bouche et qu’il boive ma semence et mes hormones. Je vais le remplir de ce que je suis, l’étouffer avec ma mouille, lui pisser dessus, le recouvrir tout entier de ma substance de femme jusqu’à qu’il me supplie de faire de lui mon chien dévoué.
Je le moleste avec mes cuisses que je ne contrôle plus et qui se referment par saccades autour de sa tête. Il grogne et il gémit, il étouffe, apparaît à la surface au bord du malaise respiratoire puis replonge comme un désespéré vers son île paradisiaque. Sa queue est énorme dans son pantalon. Par pure perversité, je lui enfonce mon gros orteil dans les couilles pour l’entendre gémir et le punir encore un peu plus de son manque de concentration. Puis je jouis sans le voir venir, assise sur sa tête, je me déverse dans sa bouche qu’il a ouverte au maximum de ses possibilités. Il tend la langue et se baigne dans mes sécrétions, les laissant pénétrer en lui comme on le ferait avec une pluie d’été.
Il exulte de joie, comme un chien, je crois même l’avoir entendu aboyer mais je ne suis plus sûre tant je suis ravagée par l’orgasme qu’il vient de m’offrir. Je tombe au sol, roulant sur lui puis finissant ma course sur le parquet au froid consolateur.
Il est là, lui aussi, la queue toujours pleine de sève, déformant son bleu d’apprenti, léchant avec avidité, les gouttes de mon plaisir qui se sont écrasées sur le parquet. Je lui ordonne de la libérer et de se caresser devant moi, je vais lui offrir à mon tour une belle jouissance. Je me lève avec difficultés et vient me placer au dessus de lui, je le regarde se branler avec frénésie. J’écarte alors mon body et je lui pisse dessus au moment ou, comprenant mon intention, il éjacule de longs jets qui se mélangent harmonieusement avec mon urine. Nous sommes quitte.
Le lendemain matin, alors que je le croise en compagnie de ses collègues, sur le chemin de la salle de danse, je lui jette à la tête un sac blanc sans un mot. Ses collègues me traitent de folle, mais lui seul sait que dans le sac se trouve le body et un autre rendez-vous liquide avec moi.