En 1988, à l’Olympia, Serge Gainsbourg faisait l’éloge des pisseuses avec ces mots ravageurs qui restent en tête:
“De mes cinq petites pisseuses j’ai préféré la six, J’les avais liméés, liméés , limite jusqu’à l’intox, Ses petites socks, Me mettent en erex,Et je la fuck”
Moi cette après midi, je t’ai allongé sur une serviette, là, à même le sol de mon couloir et je t’ai pissé dessus, relâchant ma vessie bien pleine sur ton torse bouclé. Alors ce que j’ai lu sur ton visage m’a bouleversé au plus haut point : tu souriais avec l’éclat incomparable de celui qui jouis du spectacle, à la fois avec ses yeux et dans son corps.
Cela faisait un moment, qu’on se parlait de nos fantasmes respectifs, et celui ci revenait souvent dans ta bouche sensuelle. Comme du miel que tu aurais avalé et qui coulerait dans ta gorge doucement, les mots venaient les uns après les autres. Je t’entendais me dire combien tu avais envie qu’un jour je me retrouve au dessus de toi et que, comme un animal, je m’abandonne sur toi. Sans peur, sans dégoûts, juste remplie du plaisir de libérer ma vessie qui trop pleine avait besoin de s’ouvrir et de répandre ses gouttes d’or.
Tu me voyais, impériale, écartant mon sexe de mes doigts peints, regardant le liquide divin sortir de mon corps par vagues chaudes et odorantes. Tu voulais sentir s’écouler sur toi cette partie de moi que la société veut cacher et que toi tu voulais adorer. Tu imaginais inverser les rôles mythologiques, donnant à Danaé le pouvoir de séduire Zeus en lui pissant dessus.
Puis tu voulais me posséder, mêlant nos fluides nées de notre désir mutuel, à cette pisse, brûlante. Qu’elle pénètre dans nos peaux, que l’on glisse dessus en jouissant et que l’on s’imprègne de cette odeur primaire qui nous rappelle combien avant toutes choses nous sommes des animaux à travers le désir.
Cela te faisais bander rien que d’y penser, je voyais ton pantalon gonfler et je sentais en toi toute la perversion du monde. Dominé par tes envies que tu exprimais à demie voix, comme on murmure un secret capital à l’oreille d’une personne de confiance, tes yeux noirs luisaient d’une lumière aveuglante.
Celle qu’on ne peut voir que dans les yeux d’hommes passionnés, détachés de la morale ambiante et tournés vers leurs envies . Ta conquête du plaisir qui te poussait chaque jour à envisager un autre toi, un nouveau Nous, me fascinait. C’était avec toi que je voulais vivre tout ce que je n’avais pas encore vécu. Avec toi que je voulais gagner cette liberté amoureuse, que l’on envisage souvent comme une utopie mais qui existe belle et bien quelque part.
Alors cette après midi, je t’ai pris par la main, mon amour. Je t’ai allongé par terre et je t’ai pissé dessus, comme tu le voulais si fort. J’ai fait couler sur toi une douche dorée, qui faisait un bruit de clapotis érotiques. J’ai senti cette odeur caractéristique de l’urine, embaumer l’air. Je t’ai vu t’allumer d’un désir de feu, ta queue dressée vers le firmament. Je me suis accroupie et je suis venue mélanger mes fluides d’excitation avec ton désir foudroyant.
Libère moi et fais moi grandir avec toi, je veux être celle avec qui tes limites disparaîtront. Celle avec qui tu t’ouvriras à toutes sortes de folies. Je veux mourir sous la pointe acérée de ton désir pour renaître autre dans tes yeux. Je veux que tu me regardes comme ton avenir amoureux, comme une aventure piquante et dangereuse dont tu ne te lasseras jamais.
Je veux encore voir tes yeux briller et pouvoir m’y voir briller aussi, je te veux……
Je conserve un excellent souvenir de cette expérience qui s’est vraiment un jour imposée, tellement naturellement que cela s’est passé simplement, les jets d’or sont venus………et leurs effets érotiques et sensuels ont produits leurs effets dorés sur et en les corps, dans les Esprits et les Désirs, …….. Magique, Alchimique!!!!! Yessss! Merci pour ce beau récit – conte amoureux
bonjour
je l ai fait trois fois avec deux amies et a chaque fois ca ete un ravissement un bonheur absolu
la premiere fois c etait avec mon ex on a fait a tour de role
la deuxieme avec ma maitresse je me mettais nu dans la baignoire elle nue avec juste des talons au dessus de moi et je la lechait et elle pissait tant qu elle pouvait.
ensuite a chaque qu elle allait faire pipi je venait lui essauyé le minou avec ma langue
bref que du bonheur
Hello, merci pour votre article très remarquable! Je suis passioné par ce theme. Grâce à votre blog que je viens découvrir, je vais en apprendre davantage. Amicalement.
La douche dorée est déjà l’un de mes principaux fantasmes, et ton article renforce plus encore mon désir !
Alors oui, le début a quelque chose d’excitant, et puis je lis :
“Libère moi et fais moi grandir avec toi, je veux être celle avec qui tes limites disparaîtront. Celle avec qui tu t’ouvriras à toutes sortes de folies. ”
Hmmmm, non.
Il y a des limites quand même : les principes qu’on se fixe.
Les délires gore, masochistes, etc. très peu pour moi :D.
Oui ce sont vos limites à vous, les nôtres ne sont pas sur le même curseur que les vôtres.
Oui ce sont vos limites à vous, les nôtres ne sont pas sur le même curseur que les vôtres.
Bonjour et félicitations pour ce billet (comme pour tous les autres de votre blog). C’est cru et c’est vrai (en plus d’être très bien écrit !). Merci à vous de le partager avec nous. Vous décrivez très bien ce me semble de geste d’intimité partagée qui pour moi n’a rien de choquant quand il est pratiqué entre deux adultes consentants et en connexion l’un à l’autre. Bravo et continuez à nous régaler de vos billets si bien troussés !
Merci beaucoup à vous Jules
Mme aime les douches doré ???
C’est délicieusement écrit. Une belle plume. ✍️
Jolie histoire, très bien écrite. Bravo pour la fluidité de l’écriture, c’était très agréable.