Nous finissions de dîner dans ce charmant restaurant dont un de ses amis libertins lui avait fait l’éloge.
Il est vrai que le conseil s’était avéré fort judicieux puisque nous venions de passer plus d’une heure et demi à nous régaler à la fois de nourriture terrestre et d’un désir intense qui se faisait de plus en plus pressant.
Notre table était située un peu à l’écart de la grande salle, dans un coin plutôt discret. Elle était recouverte d’une longue nappe blanche dont les plis touchaient le sol. La moquette était si épaisse que j’avais envie d’enlever mes chaussures et m’enfoncer dedans.
L’ambiance XIX éme siècle tamisée me donnait des frissons. Je ne pouvais pas m’empêcher d’imaginer toutes les soirées de débauches qu’avait vu ce lieu mythique. Combien de femmes avaient eu comme moi l’envie de se glisser sous la nappe pour prendre le contrôle de la situation ou bien perdre pied ?
Moi je rêvais de me retrouver attachée sous celle-ci, nue et prête à satisfaire toutes les envies de mon Maître. Je le voyais me passer ma laisse et m’ accrocher à l’un des pieds de sa chaise. Tirant alors sur celle ci à chaque fois qu’il ressentirait l’envie d’ être sucé.
Je ne disais rien mais j’avais passé la soirée à m’imaginer passant sous la table pour aller rejoindre ce monde d’extases buccales qui me faisait de l’oeil inlassablement.
Mais ce n’était pas ce que mon Maître voulait pour moi ce soir et il me le fit bien comprendre. Je reçu même en guise d’avertissement, pour me punir de mon manque de concentration, un petit coup vif de fourchette dans la main qui me laissa une petite marque rouge.
Surprise par la douleur soudaine je laissais échapper un cri qui me valu de récolter un regard lourd de reproches. Je fus désormais concentrée et attentive à tout ce qui m’entourais.
Arrivée au dessert que j’avais choisi glacé, je vis s’approcher de nous, une femme brune et mince qui marchait avec une certaine grâce. Habillée avec raffinement, elle faisait tourner toutes les têtes mais ne semblait pas s’en soucier le moins du monde.
Arrivée à notre hauteur, elle ne me regarda pas ou à peine préférant s’adresser directement à mon Maître qui ne semblait pas surpris de la voir.
“C’est donc elle que tu nous offre ce soir ?” lui dit elle sur un ton que peu se permettaient avec lui.
“Oui, voici mon bel objet que je concède à ta communauté pour ce soir. Vous devrez en prendre soin car j’ai l’intention de m’en servir après votre petite sauterie !!” Lui répondit-il.
Il ne pouvait pas voir mon regard curieux car j’avais ordre de baisser les yeux quand d’autres personnes lui adressaient la parole, mais je me demandais bien qui pouvait être cette femme.
Je la vis sortir de son sac une grosse enveloppe bourrée de billets qu’elle jeta négligemment sur la table puis elle accrocha à mon collier de soumise une laisse, sans plus d’égards, comme on le ferait avec un chien.
Voyant que je ne bougeais pas, elle tira fermement sur celle ci et je dus me lever pour ne pas tomber dans mon assiette. Elle n’était pas tendre avec moi, marchant d’un pas vif qui m’obligeais à trottiner pour être à sa hauteur sans savoir ou j’allais et pour combien de temps.
J’étais essoufflée en arrivant dans cette pièce attenante à la salle de restaurant alors que je n’avais fait que quelques pas. Toujours sans me regarder, elle m’ordonna de me déshabiller et de m’allonger sur la couche qui se trouvait a mi hauteur au milieu de la pièce.
Je m’exécutais en frissonnant comprenant qu’il ne fallait pas lui désobéir. Moi qui aimait être nue en permanence pour mon Maître, je me sentais ici comme une petite fille sans défense.
La pièce fut plongée dans le noir et j’entendis des gens y entrer. Au bruit des chaussures, je sus que la majorité étaient des femmes. Quand la lumière fut de retour, se trouvait autour de moi un cercle féminin de tous âges qui semblait me regarder avec envie. La femme brune prit la parole.
“Voici la pièce de choix que je vous offre ce soir, elle est à vous et vous pouvez en abuser. Tous ses orifices peuvent être utilisés, alors faites vous plaisir Mesdames. Bon GangBang”
Alors les femmes s’approchèrent. Pleines de lubricité, elles posèrent leurs mains sur moi. On me pinçait un mamelon d’un côté alors que de l’autre on me mordillait le sein. Une grande femme doigtait ma chatte avec vigueur puis y léchait les sucs. Une autre était montée sur la table et m’étouffait avec sa chatte poilue qu’elle frottait sur tout mon visage. Elle me léchait avec dévotion le clitoris dans un soixante neuf endiablé qu’elle menait de À à Z.
Dans un coin de la pièce, je vis soudainement mon Maître, assis dans un fauteuil en cuir de toute noblesse. Il regardait la scène en fumant un cigare de luxe, arômatisé à la vanille. Il avait sortie sa queue qu’il caressait avec nonchalance me laissant voir combien elle était dure et rouge.
Sa présence m’excita et me rassura, je me laissais donc aller. J’attrapais avec entrain les fesses charnues de la femme au dessus de moi et je lui bouffais littéralement la chatte. J’enfilais ma langue dans ses profondeurs, la baisant ainsi et allant lécher les moiteurs de son plaisir. Elle gémissait sans discontinuer lâchant à profusion ses fluides qui me recouvraient tout le visage.
En bas, j’écartais bien les cuisses pour laisser de la place au fist que l’ on pratiquait sur moi. Je sentais cette main inconnue me pénétrer avec connaissance et je mouillais à n’en plus finir. Elle me fouillait littéralement poussant toujours plus loin ses doigts pour réussir à tout faire entrer. Je giclais de partout poussant des cris sourds, je voulais sa main tout entière et je l’appelais de tous mes voeux.
Je me sentais caressée et baisée de partout. C’était bon et je me laissais aller vers la jouissance que je devinais imminente quand tout s’arrêta subitement.
La femme brune venait de faire son entrée, nue sculpturale, elle étincelait parmi les autres qui reculaient sur son passage. Elle portait un gode ceinture énorme qui me laissait entendre qu’elle allait me baiser avec puissance.
Elle s’approcha de la couche, me regarda pour la première fois avec une sorte d’envie vorace et m’essuya le visage avec tendresse. Puis elle monta sur celle-ci et se positionna entre mes jambes, les repoussant le plus loin possible. Elle me pénétra d’un coup abrupt qui me fit pousser un cri de chienne en chaleur. Que c’était bon, je la sentais jusqu’au plus profond de mon vagin, ses coups secs et intenses me massait complétement l’intérieur déclenchant en moi des sensations que seul mon Maître pouvait me donner en temps normal. Je fermais les yeux en disant encore, laissant mon corps se faire dominer par cette femme qui semblait parfaitement comprendre ce qu’il me fallait. Quand je rouvris les yeux, mon Maitre était à mes cotés et il me présentait sa queue à sucer que j’acceptais avec reconnaissance et envie. Il me l’enfonça au plus loin, comme il aimait le faire, m’interdisant de jouir puis après avoir joué avec moi, il se retira.
Il me dit alors : ” Jouis ma bonne chienne soumise et dis toi que tu te fais baiser par ma femme et moi même ce soir. Ce n’est que le début de ce trio pervers; tu viendras désormais habiter chez nous pour que nous puissions user de toi à notre guise.”
Je me laissais enfin aller à la jouissance, heureuse de faire partie de cette famille qui avait bien l’intention de m’éduquer dans la jouissance et la perversité.